Des corridas, des toros, des hommes et la mort, dont sont responsables tous ceux qui sont sur les gradins. Pensez-y.

lundi 23 juillet 2012

BOULEVERSANT, AMAZING

"Devant le regard de l'animal, je me suis senti la pire merde qui soit sur terre"(link with the blog "st ambroix") ! Under the gaze of the animal, I felt the worst shit that would be on earth.


This photo (reconstitution) marks the revolution and the end of Alvaro Munera's career as matador. He collapsed in remorse mid-fight when he realized he was having to prompt this otherwise gentle beast to fight. He went on to become an avid opponent of bullfights. (The look on this bull's face says it all for me. Even grievously wounded by picadors, he did not attack this man.)

Torrero Munera is quoted as saying of this moment: "And suddenly, I looked at the bull. He had this innocence that all animals have in their eyes, and he looked at me with this pleading. It was like a cry for justice, deep down inside of me. I describe it as being like a prayer - because if one confesses, it is hoped, that one is forgiven. I felt like the worst shit on earth."
 
"Cows are amongst the gentlest of breathing creatures; none show more passionate tenderness to their young when deprived of them; and, in short, I am not ashamed to profess a deep love for these quiet creatures." - Thomas de Quincey
By: Carolyn Mabry

There is an interview with this torero here where he discusses going on to become a vegetarian and to fight to stop bullfighting.

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Cette bouleversante image marque la fin de la carrière du matador Alvaro Munera effondré de remords lorsqu'il réalise à mi combat qu'il s'apprête à tuer un animal doux et paisible qui semble le supplier. Il deviendra ensuite un fervent partisan de l'abolition des corridas; l'image dit tout. Bien que grièvement blessé par les piquadors, le toro ne l'attaque pas et le fixe seulement. "Et soudainement, j'ai vu le regard de l'animal, toute l'innocence dans ses yeux, il me regardait suppliant. J'étais prêt à pleurer. Je le décrirais comme une prière, c'était un appel à la justice, qui résonna tout au fond de moi ; si on avoue, j'espère qu'on sera pardonné : je me sentais la pire merde de la terre devant lui. Les bovins sont parmi les plus gentilles créatures de la terre, aucun animal ne manifeste plus de tendresse pour ses petits lorsqu'ils en sont privés et je n'ai pas honte d'avouer mon profond amour pour ces paisibles créatures."

2 commentaires:

  1. ou la photo ne correspond pas et vous dites n'importe quoi, ou il faut consulter un ophtalmo... à vous lire

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  2. le texte dit : "Bien que grièvement blessé par les piquadors" ????? il est déjà mort debout ! l'épée pour la mise à mort est pour preuve déjà plantée !
    je ne supporte pas les pro-corridas, mais il ne faut pas raconter de sottises non plus...
    vous broder sur une fausse idée une fausse histoire.

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